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Mais comment manager la génération des Zennials ?

Dernière mise à jour : 15 août

La génération Z fait son entrée sur le marché du travail. Besoin de liberté, envie d’avoir le choix, quête de sens, sensibilité à l’écologie et l’équité… l’arrivée des « Digital Native » influence les entreprises et remet en question leurs fonctionnements. Mais alors, comment s’adapter pour COMPRENDRE, MANAGER, MOTIVER et FIDÉLISER les jeunes talents ?


Une relation d’égal à égal

La jeune génération bouscule les rapports hiérarchiques. Il n’est plus question d’exécuter sans remise en question ce que son patron demande mais bien d’être dans une relation d’échange. Solliciter son opinion est le meilleur moyen pour créer une relation de confiance et faire en sorte qu’elle se sente concernée et impliquée dans l’entreprise. Ces nouveaux collaborateurs s’attendent à recevoir des feed-back réguliers ET à avoir la possibilité d’en donner. Vous l’aurez compris, on tend de plus en plus vers une organisation horizontale et non plus verticale. Le chef directif doit prendre la casquette d’un leader inspirant.


Une marque employeur engagée

Ce qui différencie la génération Z des précédentes, c’est la recherche encore plus forte de quête de sens dans son travail. L’équilibre de vie n’est plus de séparer la vie professionnelle de la vie privée, mais de mixer le tout pour un réel épanouissement. Pour aller dans ce sens, les valeurs véhiculées par l’entreprise sont particulièrement importantes. La diversité ethnique et des genres ou encore l’écologie font notamment partie des préoccupations principales des Zennials.


La flexibilité

Travailler 10, 15, 20 ans pour le même employeur ? Ce n’est pas l’aspiration des digital natives. Comme évoqué, la quête de sens et de liberté sont primordiales. S’ils ne trouvent pas ces critères dans l’entreprise, ils n’hésitent pas à la quitter. Télétravail, tâches variées, « agilité » sont à proposer pour les fidéliser. Le présentéisme d’autrefois se voit remplacé par l’évaluation de l’atteinte des objectifs. C’est pourquoi la culture du travail tend plus vers la « mission » à mener plutôt qu’une « fonction » ou qu’un « métier » à représenter, avec une forte tendance aux contrats à durée déterminée et au cumul de différentes activités parallèles.


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